Nate Archibald

Mianda se promenait veinement sur les sentiers gravilleux contornant le lac. Le son affaiblit du choc des petits minéraux entre eux était un rythme doux et grinçant dans ce paysage froid. Le souffle se transformait en un nuage presque opaque pendant que les choix se multipliaient sans cesse. Le lac portait sur ses eaux une fine lamelle de cette transparante couverture plate. Miranda ne portait sur elle qu'une tunique recouverte d'un manteau bleu, un jean et des basquettes fines. Le passe temps favoris de Miranda était de courrir dans ces sentiers l'hiver. Son simple regard d'un azur pur se tourna vers un buisson et elle repensa tranquillement à tous ce qui se passait ici.
Une ombre passa avec un éclat étrange puis un jeune homme brun aux yeux verts s'arrêta devant la jeune demoiselle. elle reconnue tout de suite Nate qu'elle ne regara pas dans les yeux... Ele ne savait même pas pourquoi elle prennait ainsi le sexe opposé. Elle ne fit pas un geste de recul, laissant son corp immobile.

Miranda resta debout sans regarder Nate en face. Elle avait toujours trouver le moyen de s'enfuir avant de dire un mot mais décida bien qu'elle allait changer. un sourrire s'afficha sur son visage pâle et elle répondit d'une voix hésitante en s'arrêtant toutes les dix secondes.
"Bonjour... Oui, ça va... Et toi ? "
Son visage resta collé en face d'elle. Ca ne paressait pas lui déplaire de regarder un arbre agité par la brise froide de l'hiver ou l'eau du lac qui mouvait lentement en bosses légères.

Miranda se rendit compte que si ell continuait avec cette habitude de ne jamais s'approcher ou même parler avec les garçons, ça allait causer sa perte. Elle s'assit en regardant le lac.
"J'aime regarder le lac."
Cette fois c'était le parfait ton. Une étape de réussie. Elle se félicitait intérieurement et garda quelque distance par rapport à Nate pour qu'il ne sentit pas sa joie. Elle avait le visage fermé en regardant le renflemant des eaux.

"Comme si j'allais m'évanouir."
Miranda avait pritun ton grave et plein de repproche pur prononcer cette phase qui étai sortie sans raison. Elle tourna un regard coléreux sur Nate. Ce n'était pas elle qui allait s'évanouir parce qu'elle avait simplement une mine un peu pâle. D'ailleur, elle avait toujours ce eint là en hiver. C'était ainsi et ça n'allait pas changer. Quand, même, en y réfléchissant bien, le eune homme ne l'avais jamais vue avant.

"C'est vrai... Le paysage est vraiment des plus beau, je n'ais peut-être jamais vut de bâtiment si bien décoré et de jardin si richement fleurit où l'on a installé tantde points d'eau qu'on ne saurait les compter. Un jour je trouverais ça lassantet l'autre ce seras radieux."
Miranda était changeante, évidemment. C'état une jeune fille pleine d'énergie qui n'aspirai qu'à passer le temps. Tant de beauté dans le paysage la rendait ivre de joie. Parfois elle pouvait passer ses jourées dehors, regardant le pysage d'un oeil nouveau et le lendemain c'était un vrai ennuie.Sa tendance à chnger très vite de sentment lui permettait de faire table rase de sa précédente humeur pour en faire sortir une nouvelle. La jene fille gardait son regard sur le lac en face d'elle. On y voyait se refléter unesublime couleur que les branches ne laissaient à personne le droit de voir, o du moin, en partie.

La jeune se reposa sur le dossier de bois du banc dont le métal apparaissit vers foncée. L'armonie entre le bois et claire et le fer foncé était plaisant. On voyait exactement les même dans de grandes villes en moin bon état que ceux du jardin du pensionnat. Les pauvres rayons de soleils transperçaient discrètement les branche pour se poser en une ombre effrayante par son geste tortueux et vif. De longs doigt se refermant sur le sol en recupérant quelques cailloux entres leurs griffes asserrée, choisissant leurs victimes parmi les plus noble et les plus grands. Miranda commençais tout juste à s'inventer ce scénario pendant qu'elle tournait ses yeux vers le ciel recouvert par une multitudes de nuages voyageant vers la plus vive lumière.

Miranda décida de tester l'imaginaire du garçon, ça lui permettrait d'oublier tous ses différents avec les garçons et peut-être qu'il ne pensait ps qu'à la guerre mais aussi àla magie, ou quelques chose de totalement imaginaire. Elle sortit un phrase au hasard :
"A quoi te font penser les branches dénudées de feuilles, Nate ?"
Pour elle c'était certains, d'horrible mains noueuses surmontées de griffes longus et zigzagant entre d'nvisibles rides ou une calvissie aigue... Ce qui était plus rassurant quand même.

"Pour ma part ce serai de longs doigts noueuses prêtent à se refermées au moinde de nos mouvements ou sinon, calvissie aigue : les quelques cheveux qu'il reste à faire tomber par la maladie."
Miranda sourrit. Les branches continuaient de mouver dans un sens comme dans l'autre. Le ciel s'assombrissait doucement pendant que la terre contnuait son périple en tournant sur elle même.

Miranda passa un léger regard empreint de comprehension. C'était sûr, elle n'avait pas son égal dans ce monde. Un grand sourrire affina ses lèvres rosées pendant qu'elle se jetait en arrière afin de mieux regarder la nue entre les branchages frêles. Ses yeux se refermèrent doucement et elle se laissa aller à un rêve eveillée. Celui qu'un jour elle serait une grande écrivain... peut-être une petite artiste. Le destin, il fallait y compter.

Miranda sourrit et réfléchit longuement sur une scène précise où elle avait confondu deux êtres. Sa recherche ne fut pas si vaine après tout.
"Oui, je crois bien que j'ai confondut un cheval à une vache."
Un sourrire étira légèrement les lèvre rosées de la jeune fille qui s'était levées avec Nate pour marcher paisiblement à travers le lac, entre les branches frêles s'élevant ers les nuages cotonneux que personne n'avaient atteint sauf en volant.

"C'est incroyable, vous étiez dans un champ ?"
Miranda parut sourire sans forcé et d'ailleurs elle pensait bien que c'était drôle vut comment réagissait Nate à cette comparaison. D'ailleur ce n'était pas impossible quand la personnequ'on confond restait immobile.

Si miranda avait aurait put se lâcher, ou avait la force ou encore l'envie d'ailleur de rire d'une façon très annormale, elle l'aurait fait pour cette simple erreur mais elle se garda bien de montrer un rire amusé et sourrit simplement sans s'en appercevoir presque. Elle le garda comme même quand ele le remarqua.
"Je vois, j'aurais vut la même chose, au fond."
La jeune fille n'avait pas l'air enthousiaste à l'idée de rire à quelque chose de si drôle, la jeune femme essayait de garder sa retenue pour elle même.